C'est le titre d'un article paru dans l'édition Granvillaise d'Ouest France, en date du 25 novembre 2013.
Il s'agit d'une parcelle de terrain, d'une superficie de 4073 m2, située sur la commune de Bréville, qui appartient au CCAS de Granville. La municipalité de Granville, ne sachant qu'en faire, a donc décidé de le vendre à un lotisseur.
Le service des domaines en a estimé le prix à 15 euros le m2, mais le maire de Granville a réussi en négociant à en obtenir 18 euros, ce que conteste un conseiller municipal d'opposition qui prétend que cela vaut beaucoup plus.
Moralité de l'affaire : Quand la municipalité vend son patrimoine, elle trouve l'estimation du service des domaines minimaliste. En revanche, quand il s'agit de spolier et d'exproprier des petits propriétaires, comme au Taillais à Yquelon, elle se retranche derrière l'avis des domaines pour refuser de payer le juste prix fixé par le juge des expropriations, n'hésitant pas au besoin à refaire de la procédure.
Nota : lire aussi l'article consacré à ce sujet à l'adresse : http://tourneveste.blogspot.fr/
Une parcelle de discorde au conseil municipal
Faut-il y voir un effet du récent rapport de la chambre régionale des comptes sur la gestion du Pays granvillais? Début novembre, l'organisme régional a jugé " risquée " la vente du bowling d...
http://www.ouest-france.fr/une-parcelle-de-discorde-au-conseil-municipal-1742390